Soumise sexuelle treize à la douzaine

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il y a 4 ans

Soumise sexuelle treize à la douzaine

Si j'écris cette histoire, c'est parce que je n'ai pas le choix. Mon mari m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. Je ne m'éterniserai donc pas, car je commence à avoir envie de faire pipi.

En résumé, nous sommes un couple libertin et BDSM soft, marié depuis 19 ans, notre vie de couple et sexuelle sont épanouies. En 19 ans de mariage nous avons finit par nous dévoiler nos petits secrets intimes. Mon mari aime bien me dominer, comme je ne suis absolument pas maso, sa domination est soft. De mon côté, j'ai toujours eu le fantasme de la contrainte sexuelle en série, d'être prise par des inconnus qui profitent de moi. Que l'on se rassure, j'aime mon mari et il est hors de question que je le fasse cocu.

Pour assouvir mon fantasme, nous allons depuis peu une fois par trimestre dans un club libertin le soir à gang bang. Je me promène nue sous le peignoir qu'ils nous louent avec un petit sac contenant mes menottes et bracelets à la main. Au fond de la grande salle, il y a un sling très confortable sur lequel je vais m'installer quand nous y allons. Je passe mes bracelets aux chevilles avant de m'allonger sur le sling.

Une fois installée nue, jambes attachées et écartées sur le sling, je mets les mousquetons des bracelets de mes chevilles sur les chaînes suspendant le sling. Les hommes me regardent avec beaucoup d'intérêt (surtout entre les jambes) avec un certain étonnement pour certains. (Les libertins sont parfois coincés) Je passe ensuite les menottes à mes poignets pour m'entraver toute seule une main sur chaque chaîne. Rien que de m'installer, je suis dans tous mes états, même si j'ai toujours un peu peur, mon excitation est énorme et ma chatte trempée.

Mon mari vient alors m'embrasser et me mettre une cagoule en spandex sur le visage, elle me permet de respirer aisément sans voir qui me prend et m'évite à avoir à sucer les sexe pas toujours très propres..... Il accroche un petit panier avec du lubrifiant et des préservatifs puis annonce à qui veut l'entendre que sa chienne est disponible par les deux trous. A chaque fois cette annonce me fait froid dans le dos, mais je sais aussi que je vais m'envoler et peut-être souffrir un peu.

Quand les premiers hommes me touchent, à chaque fois je bondis de peur même si je sais que mon mari veille à tout. Leurs mains qui me palpent et me fouillent sans aucune gêne me transportent au septième ciel en un rien de temps. J'aime moins quand elles me pincent les tétons mais ai-je le choix ? Quand on est maltraitée on n'a pas le choix, je me contente alors de gémir et de dire des « non » que personne n'écoute. Vendredi soir il leur a indiqué que j'aime être brutalisée et qu'ils pouvaient s'en donner à cœur joie. En entendant ça, j'ai pris peur, j'ai voulu qu'on arrête mais il ne répondait pas. Sur le coup j'ai cru qu'il m'avait laissée seule mais j'ai appris après la soirée qu'il ne m'avait jamais quittée.

Lorsque le premier sexe s'est posé contre ma chatte, j'étais totalement dans un autre monde, dans la contrainte sexuelle pure et dure, sauvage et ignoble. Le mec m'a possédée comme une brute, les chaînes du sling rythmaient son martèlement brutal en même temps que mes cris. Au bout d'un moment j'ai réussi à me décontracter un peu, à moins que ce soit lui qui m'est décontractée.... Il s'est rapidement mis à grogner avant de se mettre à beugler avant même que je ne prenne du plaisir, un précoce qui devait s'imaginer que pour que ce soit bon, il faut essayer de battre des records de vitesse.

Le suivant a été plus doux, son sexe allait et venait en moi profondément à chaque fois, à chaque fois je savourais la possession car il n'était pas brutal. ET là, alors que j'allais partir, il s'est retiré pour poser son gland contre mon petit trou bien offert de par ma position. Le mec devait être bien monté car je l'ai sentie passer même si j'aime la sodomie. Comme il était très excité, il ne m'a pas laissée le temps de me décontracter, à peine en place il m'a labourée. Je tirai comme une malade sur les chaînes mais entre les entraves et ses mains me tenant fermement, j'ai eu l'impression de me faire démonter par un docker. Quand il s'est retiré après avoir jouis, mon anus continuait de se contracter, c'était magique.

Le suivant n'a pas tardé à profiter de la place libre, mon vagin déjà bien ouvert l'a apprécié et moi aussi. Ses mouvements me transportaient dans les brumes évanescentes du plaisir divin, le plaisir de l'abandon total à cette bite inconnue mais si efficace..... L'homme d'après n'a pas voulu faire connaissance, il m'a enculée directement sans plus de précaution en se servant de la fille offerte.

Après il y en a eu d'autres, beaucoup d'autres, je ne savais plus, je ne comptais pas mais j'avais perdu le fil. Prise à la chaîne, je n'étais plus qu'un pantin de chair épuisé mais disponible pour les mâles en rut. Certains m'ont éveillée les sens plus que d'autres, combien de fois ais-je jouis, je ne saurai le dire, mais quel pied.

La surprise du bonheur est arrivée à la fin quand j'ai entendu mon mari dire « treize à la douzaine » sauf que le treizième c'était lui. J'ai reconnu sa façon de me faire l'amour, de jouer avec mes sens, ma porte comme s'il hésitait à entrer. Il a du s'acharner tant j'étais épuisée mais il m'a eu comme toujours ou presque. Ses doigts sur mon clitoris faisaient la chamade en même temps qu'il me prenait à son tour, le coup de grâce du Maître de mon cœur m'a tuée.

Lorsque nous sommes rentrés, je dormais dans la voiture, le temps qu'il ferme le portail sans douche sans rien je me suis écroulée sur le lit comme une bien heureuse comblée, vidées, lessivée.

Le lendemain de ces soirées, pour remercier mon homme de tant de générosité d'âme, je lui suis entièrement soumise en anticipant même ses désirs, ses envies, ses caprices. Mes lèvres le butinent, ma bouche le mange, ma langue virevolte à la recherche de son exclusif plaisir parce qu'il le vaut bien non ?

Et là en guise de remerciement à mes généreuses attentions, il m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. GRRRRR

Solange

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